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IMPORTANT
: lisez ce texte il vous informe de ce qui ce passe dans les
laboratoires biensur ce n'est pas un conte de fée ce que vous lirez est
tres choquant mais je pense qu'il est temps de ce rendre compte de
cette tragedie qui frappe tout les animaux ils faut arreter de se
voiler la face !!! MOBILISONS NOUS !!!!
Il y a quelques années, la
communauté scientifique affirmait que, dans un avenir très proche, de
moins en moins d'animaux seraient impliqués dans les expériences en
laboratoires. Pourtant, au contraire, le nombre d'animaux en
vivisection ne cesse d'augmenter: plus de 800 millions d'animaux meurt
dans les laboratoires du monde entier.
voila ce qui se passe dans les laboratoires :
- Un chien est crucifié afin d'étudier la durée de l'agonie du Christ.
- On éviscère une chienne pleine pour observer l'instinct maternel sous l'emprise de la douleur.
- Les chercheurs dans une université américaine provoquent des
convulsions chez des chiens et des chats afin d'étudier leurs ondes
cérébrales pendant les crises, dont la fréquence et la sévérité
augmentent graduellement, jusqu'à un état de crise continue, ce qui
amène à la mort au bout de trois à cinq heures.
- Une autre équipe de 'scientifiques' ébouillante 15,000 animaux, puis
traite la moitié d'entre eux avec un extrait de foie déjà reconnu pour
son utilité dans les cas de choc. Comme prévu, les animaux traités
agonisent plus longtemps que les autres.
- Les chiens beagles, bien connus pour leur nature douce et
affectueuse, sont torturés jusqu'à ce qu'ils s'attaquent entre eux. Les
'scientifiques' responsables de ceci annoncent qu'ils « conduisaient
une étude sur la délinquance juvénile ».
- Des millions d'animaux sont lentement aveuglés par les acides,
empoisonnés, éventrés, soumis à des chocs électriques, gelés afin
d'être ranimés, puis gelés à nouveau, laissés afin de mourir de faim,
ou de soif, et dans bien des cas après que des glandes diverses soient
entièrement ou partiellement extirpées, ou que la moelle épinière soit
sectionnée.
Les réactions de ces victimes sont méticuleusement notées,
sauf pendant les fins de semaines interminables, lorsque les animaux
sont laissés sans surveillance, où ils peuvent méditer sur leurs
souffrances, qui peuvent durer des semaines, des mois, des années,
avant que la mort ne mette un terme à leurs épreuves La mort étant la
seule véritable anesthésie que l'on permette à la plupart des victimes.
Mais souvent ils ne sont pas laissés en paix pour autant: Ressuscités
miracle de la science moderne ils sont soumis à des séries de
tortures nouvelles.
- Des chiens, rendus fous par la douleur, ont été observés en train de dévorer leurs propres pattes;
- les convulsions projettent des chats contres les grillages de leurs cages, jusqu'à ce que les créatures s'écroulent;
- les singes ont déchiré et rongé leurs propres corps.
MAIS N'ARRETEZ PAS DE LIRE !!! parce que le but de ce récit est de vous montrer comment vous pouvez, et pourquoi vous devez, mettre une fin à tout ceci.
Bien que la majorité des médecins pratiquants défendent la vivisection,
la plupart d'entre eux ne sont pas informés sur ce qu'ils défendent,
n'ayant jamais mis le pied dans un laboratoire de vivisection.
Inversement, la grande majorité des vivisecteurs n'ont jamais passé
cinq minutes au chevet d'un malade, pour la bonne raison que le plupart
d'entre eux ont décidé de se consacrer à des animaux de laboratoire
lors de l'échec de leurs efforts de réussir l'examen le plus important,
celui qui aurait permis de pratiquer la médecine sur les humains.
En
2003, un membre du British Association for the Abolition of Vivisection
s'est inflitré dans le laboratoire Covance en Allemagne. Avec une
caméra cachée, cet activiste a révélé l'horrible vérité de ce camp de
concentration pour primates.
- Les nouveaux arrivants
étaient acheminés dans l'unité par groupes de six à huit singes par
cage. Ils étaient extrêmement effrayés. Ils se cramponnaient
désespérément les uns aux autres en criant, alors qu'ils étaient
extraits de force de la cage un par un. La lutte était parfois si
intense que lorsque les singes étaient tirés hors de la cage, la porte
de celle-ci claquait, coupant leurs queues ou blessant leurs pattes.
- Le bloc était rempli de femelles enceintes et de mères avec leur
petit. Régulièrement, on séparait de force les petits de leur mère pour
les peser et leur faire des prises de sang. Les mères essayaient
désespérément de protéger leur petit, criant et se jetant contre les
parois des cages. Deux techniciens séparaient les mères des petits en
tirant sur leurs queues et leurs bras.
- Pour tester certains produits biomédicaux, les singes étaient
maintenus de force dans des "chaises à primates" et on injectait les
composés expérimentaux directement dans le flux sanguin. Un bras,
parfois les deux, était maintenu et les jambes étaient attachées de
part et d'autre. Leur tête était fixée dans un pilori en plastique.
Totalement immobilisés et donc vulnérables, de nombreux animaux se
débattant désespérément pour s'échapper. Chaque singe subissait ce
traitement jusqu'à une demi-heure, pour une seule perfusion. Ce
supplice était même infligé à des femelles enceintes.